Un dictionnaire du martinisme (essai sur) de Richard Raczynski, Editions Dualpha.
La bonne volonté et le travail ne suffisent pas. Un véritable dictionnaire du martinisme ne pourra naître que du travail d’un collectif de spécialistes. Ce dictionnaire comporte nombre d’erreurs, d’absences, d’approximations et d’insuffisances ( sur l’Ordre des Chevaliers Maçons Elus Coëns de l’Univers, sur Kremmerz, la FTMM et l’Ordre d’Osiris, sur Swedenborg, carrément absent - ce n’est pas parce que Saint-Martin veut l’ignorer qu’il n’est pas influent sur le martinisme -, sur la revue Supérieur Inconnu dont l’auteur semble ignorer la présence lumineuse depuis vingt ans sous la direction de Sarane Alexandrian, sur Triantaphyllos Kotzamanis dont l’auteur confond le nom et le prénom, etc. ). Si l’auteur se dédouane d’avance par son (essai sur) de ces imperfections et invite, semble-t-il, à collaborer à son amélioration, la question se pose de la place de ce dictionnaire, dans sa forme présente, au sein de la littérature martiniste.
Il n’est ni un dictionnaire amoureux qui, pour un auteur désireux de travailler seul, pourrait être pertinent, ni un dictionnaire de référence. Il s’apparente davantage à ces ouvrages consacrés aux sociétés secrètes que popularisèrent Xavier Pasquini et Christian Plume en 1980 avec leur Encyclopédie des sectes dans le monde, construite avec un catalogue de fiches plus ou moins bien renseignées. Le lecteur devra donc être prudent avec les informations proposées, notamment sur les périodes récentes, la fiabilité de l’information augmentant généralement avec l’ancienneté des sources.
Editions Dualpha, BP 58, 77522 Coulommiers cedex.
La bonne volonté et le travail ne suffisent pas. Un véritable dictionnaire du martinisme ne pourra naître que du travail d’un collectif de spécialistes. Ce dictionnaire comporte nombre d’erreurs, d’absences, d’approximations et d’insuffisances ( sur l’Ordre des Chevaliers Maçons Elus Coëns de l’Univers, sur Kremmerz, la FTMM et l’Ordre d’Osiris, sur Swedenborg, carrément absent - ce n’est pas parce que Saint-Martin veut l’ignorer qu’il n’est pas influent sur le martinisme -, sur la revue Supérieur Inconnu dont l’auteur semble ignorer la présence lumineuse depuis vingt ans sous la direction de Sarane Alexandrian, sur Triantaphyllos Kotzamanis dont l’auteur confond le nom et le prénom, etc. ). Si l’auteur se dédouane d’avance par son (essai sur) de ces imperfections et invite, semble-t-il, à collaborer à son amélioration, la question se pose de la place de ce dictionnaire, dans sa forme présente, au sein de la littérature martiniste.
Il n’est ni un dictionnaire amoureux qui, pour un auteur désireux de travailler seul, pourrait être pertinent, ni un dictionnaire de référence. Il s’apparente davantage à ces ouvrages consacrés aux sociétés secrètes que popularisèrent Xavier Pasquini et Christian Plume en 1980 avec leur Encyclopédie des sectes dans le monde, construite avec un catalogue de fiches plus ou moins bien renseignées. Le lecteur devra donc être prudent avec les informations proposées, notamment sur les périodes récentes, la fiabilité de l’information augmentant généralement avec l’ancienneté des sources.
Editions Dualpha, BP 58, 77522 Coulommiers cedex.